Jannik Sinner : "J'espère être prêt pour Monte-Carlo..."

A Miami, Jannik Sinner avait activé le mode survivant en sauvant trois balles de match contre Emil Ruusuvuori et cinq balles de match contre Pablo Carreno Busta avant d'écarter Nick Kyrgios en deux sets. Quart de finaliste pour la deuxième année de suite en Floride, l'Italien partait largement favori mercredi soir contre la surprise Francisco Cerundolo. Mais après un début de match compliqué, Sinner n'était pas en état de continuer et a préféré serrer la main de son adversaire à 4-1. On a appris plus tard qu'il souffrait d'ampoules au pied. Cruel pour l'Italien, qui avait déjà dû déclarer forfait avant son huitième de finale contre Nick Kyrgios à Indian Wells...

Retrouvez ici le tableau du Masters 1000 de Miami

"Ça a été un mois un peu difficile"

Particulièrement déçu, le 11e joueur mondial a laissé un autre petit message à ses fans sur ses réseaux. "Ce n'était pas facile de se retirer à Miami. Ça a été un mois un peu difficile avec ma maladie à Indian Wells et maintenant ça. J'ai profité des derniers jours pour me reposer et obtenir des conseils sur mes pieds pour l'avenir. J'espère être prêt pour Monte Carlo." Le Masters 1000 de Monte-Carlo aura lieu du 10 au 17 avril prochain.

"J'ai joué deux tournois récemment, Indian Wells et Miami, et dans les deux cas, j'ai dû abandonner. C'est difficile à accepter"

"J'avais des ampoules et je ne pouvais pas bouger", avait-t-il expliqué devant les médias après la rencontre. "J'ai commencé à les ressentir hier, dans le dernier match contre Nick. Aujourd'hui, je voulais aller sur le terrain et essayer, mais ça n'a pas marché. Au premier match, j'ai glissé sur le terrain et je me suis senti encore plus mal, à partir de ce moment-là, je ne pouvais plus bouger. Il a frappé une balle courte, je suis allé la chercher et j'ai glissé pour frapper le revers. C'est là que c'est arrivé, et je me suis sentie bien plus mal qu'hier. C'est très difficile pour moi : j'ai joué deux tournois récemment, Indian Wells et Miami, et dans les deux cas, j'ai dû abandonner. C'est difficile à accepter"