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Alizé Cornet : "J'étais stressée mais tout s'est bien goupillé"

BJK Cup
Publié le par Paul MOUGIN

La saison de l'Équipe de France de Billie Jean King Cup se termine ce week-end au Portel avec l'objectif de sauver sa place parmi l'élite du tennis mondial. Une victoire donnerait le droit de participer aux barrages qui auront lieu en avril 2023. Ce vendredi, l'expérimentée Alizé Cornet a mis l'équipe sur de bons rails. L'Azuréenne, qui a un bilan négatif avec le maillot bleu, 5 victoires pour 16 défaites en simple, a été irréprochable pour dompter Lesley Kerkhove, 6-2, 6-0. Le combat a été intense mais la Tricolore a su serrer le jeu dès qu'il le fallait. Cornet est ensuite passée au micro de Tennis Actu et Sports 59/62 après cette rencontre parfaite pour elle.

Alizé Cornet a parfaitement lancé la France en BJK Cup

 

"J'ai fait un match très solide"

"J'étais assez stressée car je me suis mis une grosse responsabilité de ramener ce premier point et de bien lancer Diane pour son premier match. Je connaissais Leslie, je savais qu'elle pouvait très bien jouer. J'ai été hyper rigoureuse du premier au dernier point. J'ai rien lâchée comme je sais le faire. Je suis contente de mon niveau de jeu. J'ai fait un match très solide, je m'attendais pas à jouer aussi bien vu ma nervosité pré-match. Tout s'est bien goupillé, j'ai été la patronne. Ça fait du bien de jouer ce genre de match. J'ai pris du plaisir sur le court. Dès le premier point, j'ai senti le public au taquet. Ils sont proches. C'est chaleureux. On les sent présents avec nous."

 

"Parry, c'est comme ma petite soeur"

Avec le forfait de Caroline Garcia, trop juste, c'est la jeune Diane Parry qui a pris sa place. "C'est pour ça que j'étais contente de jouer en premier quand le tirage a été fait hier. Comme ça je pouvais ramener le premier point et Diane serait peut-être moins stressée. Mais après une première sélection c'est pas évident. Elle savait qu'elle devait être prête ce week-end. Caroline revenait du Texas, on espérait qu'elle joue mais on comprenait qu'elle pouvait être fatiguée. Parry, c'est comme ma petite soeur. Je l'ai prise sous mon aile. Ça me tient à coeur qu'elle réussisse à exprimer son jeu."

Publié le par Paul MOUGIN

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