Novak Djokovic : "Le dopage suivra Sinner... comme le Covid me suit"
DopageNovak Djokovic est peut-être celui qui peut comprendre le mieux Jannik Sinner. Dans une interview diffusée sur l'émission web « Piers Morgan Uncensored », Djokovic a évoqué Jannik Sinner et l'affaire de dopage au Clostebol. Le Serbe ne s'est pas étalé mais a tout de même lâché une phrase intéressante. "Le problème du dopage est une ombre qui le suivra, tout comme l’ombre du Covid me suivra." L'Italien, suspendu trois mois après ses tests positifs au clostébol, une substance interdite, en mars 2024, subit des critiques depuis le début de la médiatisation de son affaire début 2025. Djokovic avait lui subi les foudres des médias trois ans plus tôt, en Australie.
Quand Novak Djokovic était expulsé d'Australie en 2022
Novak Djokovic refoulé d'Australie en 2022...
Souvenez-vous... Novak Djokovic avait vu son visa être annulé avant l'Open d'Australie 2022, après des jours de drame concernant les règles d'entrée dans le pays (COVID) et son statut de non-vacciné. Cueilli dès l'aéroport, placé avec les réfugiés, puis finalement expulsé, Djokovic avait vécu cette histoire comme un traumatisme. Depuis, de l'eau a coulé sous les ponts mais celui qui visera un 25e titre du Grand Chelem à Melbourne n'a pas oublié cet épisode, et notamment le traitement médiatique autour de cette affaire.
Novak Djokovic, en janvier 2025 : "J'ai eu un petit traumatisme il y a trois ans, et certaines traces sont encore présentes"
"Pour être honnête, j'ai un peu de traumatisme. Les deux dernières fois que j'ai atterri en Australie, en passant le contrôle des passeports et l'immigration, j'ai eu un petit traumatisme il y a trois ans, et certaines traces sont encore présentes lorsque je passe le contrôle des passeports, en vérifiant simplement si quelqu'un s'approche de la zone d'immigration. La personne qui vérifie mon passeport va-t-elle m'emmener, me retenir à nouveau ou me laisser partir ? Je dois admettre que j'ai ce sentiment", a avoué Djokovic, en janvier dernier.
Publié le par Alexandre HERCHEUX