Les phryges tennis et paratennis dévoilées par la FFT

Paris 2024 a choisi le bonnet phrygien pour représenter les deux mascottes des prochains Jeux Olympiques. Dévoilées le 14 novembre, les mascottes sont appréciées par 75% des Français, selon les enseignements d’une enquête en ligne réalisée par Harris interactive. Un engouement qui s’élève même à 83% chez les enfants de 6 à 17 ans. La FFT a dévoilée ce vendredi les versions tennis et paratennis des phryges. Pour bien représenter leur sport, elles se sont parées de leurs accessoires préférés : raquettes, balle et fauteuil pour le paratennis. Et vous qu'est ce que vous en pensez ?

Les mascottes de Paris 2024 plaisent aux Français, et encore davantage aux enfants

Les “Phryges” font l’objet d’une réception très positive de la part des Français, tout âge confondu. En effet, si elles plaisent à 75% des adultes, 83% des enfants de 6 à 17 ans partagent cet avis (dont près de la moitié indiquent qu’elles leur plaisent beaucoup). Spontanément, les mascottes de Paris 2024 sont associées à des qualificatifs positifs, et ce autant auprès des Français adultes que des enfants de 6 à 17 ans, comme le fait qu’elles vont bien ensemble (86% des Français, 92% parmi les enfants), qu’elles sont facilement reconnaissables (85% des Français et 86% des enfants), originales (84% des Français et 88% des enfants) ainsi que leur aspect mignon (80% des Français et 86% des enfants).

Reprenant un des symboles de la République française, les mascottes de Paris sont également perçues comme représentant bien la France, tant pour l’ensemble des Français que pour les enfants, le symbole du bonnet phrygien étant bien restitué spontanément, autant par les adultes que par les enfants. En faisant le choix d’une mascotte paralympique avec une prothèse et une lame de course, Paris 2024 a souhaité donner une visibilité maximale aux personnes en situation de handicap et promouvoir les valeurs d’inclusion des Jeux Paralympiques et du sport. Ce choix est largement soutenu par près de 9 Français sur 10 (88%), et encore davantage par les enfants (93%).