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Carlos Alcaraz très solide contre Alejandro Tabilo

Open d'Australie
Publié le par Samuel MESSBERG

Le retour sur les courts de Carlos Alcaraz (n°31) était très attendu. Nous attendions avec impatience de savoir dans quel état de forme le joueur de 18 ans se trouvait dans ce début de saison. Opposé à un joueur en forme de ces premières semaines de 2022, Alejandro Tabilo (q), Alcaraz a montré qu'il était bel et bien l'un des favoris de ce tournoi. Il s'est imposé 6-2, 6-2, 6-3 pour rallier le deuxième tour et y affronter Dusan Lajovic. Ce sera leur premier affrontement. 

Vivez les temps forts du match entre Alcaraz et Tabilo

 

"Je n'ai pas trouvé cela difficile"

Le jeune joueur de 18 ans est revenu sur sa victoire et sa capacité à s'acclimater rapidement aux conditions ainsi qu'à son adversaire, alors que c'est son premier match de la saison : "Je me suis surpris sur le terrain. Lors des premiers matches, il est toujours difficile de s'acclimater au rythme et je n'ai pas trouvé cela difficile. Tabilo jouait bien et je devais être très concentré. Je savais comment je devais jouer et comment je devais faire les choses. J'ai pu le faire et j'en suis très heureux. Quel que soit mon adversaire, ce sera très difficile."


"Être fort physiquement est quelque chose d'important pour se sentir à l'aise"

Un aspect de l'Espagnol a énormément surpris le public : sa transformation physique. Selon lui, il était important de se développer, pour pouvoir tenir de très longs matchs : "Être fort physiquement est quelque chose d'important pour se sentir à l'aise et savoir que je vais pouvoir jouer de longs matchs. Cette pré-saison, je me suis concentré sur la prise de masse musculaire. Cela a été un grand changement physique, mais en même temps un très bon changement."

 

 

"J'aime qu'ils me voient comme un rival proche"

Interrogé sur la pression qu'il pourrait avoir d'être attendu désormais par ses adversaires, l'Espagnol semble prêt à assumer les conséquences d'une telle montée, et ce, même s'il est très jeune : "J'aime être consolidé dans le circuit et qu'ils connaissent ma présence, qu'ils sachent que je suis là. Qu'ils me voient comme un rival proche. C'est bon pour moi. L'année dernière a été une grande année, elle m'a permis de m'établir parmi les 30 meilleurs mondiaux et c'est bien pour moi qu'ils me respectent de plus en plus."

Publié le par Samuel MESSBERG

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