Tennis Actu: Actualités, matchs, direct, résultats...
+
A LA UNE

Carreno Busta : "Si je suis là... c'est que j'ai le niveau"

US Open
Publié le par Alexandre HERCHEUX

Pablo Carreno Busta, auteur d'un superbe début de match face à Novak Djokovic avant la fin que l'on connaît, a saisi sa chance à Flushing en faisant craquer à Denis Shapovalov après 4h09 d'une lutte acharnée, 3-6, 7-6(5), 7-6(4), 0-6, 6-3. La bataille fût longue et pendant très longtemps indécise mais Carreno Busta est parvenu à aller chercher sa 2e demie à l'US après celle obtenue en 2017.

Pablo Carreno Busta tient sa 2e demie à Flushing

Retrouvez le tableau Hommes de l'US Open ici

 

"J'essayais juste de penser au présent. Également au début du match, j'étais très nerveux. Je me précipitais. Quand je commence le deuxième set, je pense que je jouais beaucoup mieux que sur le premier. Puis dans le quatrième set, je me suis senti un peu bloqué, dans le bas du dos. C'est mon point important, dans le bas du dos. Le physio m'a dit que j'étais un peu bloqué. Il a essayé de faire ses trucs. C'était incroyable, non ? Après cela, je ne me sens pas à 100% parce que nous avons joué quatre heures, mais je pourrais jouer à nouveau mon meilleur tennis. C'est très important d'être de retour en demi-finale de l'US Open. Quand j'arrive en quarts de finale à Roland Garros en 2017, c'était incroyable. Ensuite, j'ai fait une demi-finale ici. C'était incroyable. Si je peux le répéter, si je suis à nouveau en demi-finale, c'est parce que j'ai le niveau. Il est donc très important pour moi, pour ma confiance, de continuer à travailler très dur, de continuer ainsi."

 

Vainqueur à l'expérience des 2e et 3e manche, Carreno Busta a connu un trou d'air dans la 4e manche qui semblait sonner la fin de son aventure. Mais au courage, l'Espagnol s'est relevé dans la 5e manche, notamment grâce à un service très performant, pour convertir la 2e des 2 seules balles de break qu'il y a eu dans cet ultime set. Grosse performance de l'Espagnol qui aura trois jours pour récupérer. Pas du luxe. 

Publié le par Alexandre HERCHEUX

Vous avez aimé cet article, partagez le ! 

A la Une