Tennis Actu: Actualités, matchs, direct, résultats...
+
A LA UNE

Rybakina, en finale : "Ma tête sait comment gérer"

Open d'Australie
Publié le par Alexandre HERCHEUX

La puissance d'Elena Rybakina, la meilleure serveuse du tournoi, continue de faire des ravages dans cet Open d'Australie 2023 et il ne reste désormais plus qu'une étape. Absolument brillante jusqu'ici avec des victoires sur Danielle Collins, Iga Swiatek et Jelena Ostapenko, la Kazakhe a poursuivi sa route en éteignant ce jeudi Victoria Azarenka, 7-6(4), 6-3. Désormais, la 25e mondiale n'est plus qu'à une victoire de refaire "le coup" de Wimbledon. Elle aura l'avantage de l'expérience contre Aryna Sabalenka samedi, puisqu'elle sera la seule des deux finalistes à avoir connu ce niveau en Grand Chelem. 

Elena Rybakina en finale de l'Open d'Australie

 

Retrouvez ici le tableau Simple Hommes de l'Open d'Australie 2023

Retrouvez ici le tableau Simple Dames de l'Open d'Australie 2023

 

"Ma sœur est ici avec mes parents, c'est la première fois qu'ils sont tous ensemble"

En conférence de presse, la Kazakhe a évoqué la présence de toute sa famille à Melbourne. "C'est quelque chose de très important pour moi, je pense que la première fois que quelqu'un est venu me voir lors d'un tournoi, c'était lors du dernier WTA à Doha, lorsque nous avons tourné la vidéo où mon entraîneur disait que si je gagnais un jour un Grand Chelem, il se ferait tatouer. Donc c'était la première fois, la deuxième fois c'était à Wimbledon, où j'ai gagné. Ma sœur est ici avec mes parents, c'est la première fois qu'ils sont tous ensemble, donc je suis super heureuse que nous puissions passer les soirées ensemble et qu'ils puissent me voir en direct."

 

"Ma tête sait déjà comment gérer ces moments"

L'actuelle 25e mondiale a également parlé de l'avantage d'avoir déjà disputé une finale de Grand Chelem. Un atout non-négligeable dans son jeu. "La différence cette fois-ci, c'est que je savais déjà à quoi m'attendre ; à Wimbledon, en revanche, tout était nouveau. Maintenant, je suis plus ou moins calme, ma tête sait déjà comment gérer ces moments. Samedi, je serai nerveuse quoi qu'il arrive, au bout du compte, c'est une finale de Grand Chelem, tout comme aujourd'hui en demi-finale, j'étais nerveuse avant le match. Mais cette fois-ci, je pense que j'étais beaucoup plus concentré sur le match, sur ce que je devais faire, et peut-être pas autant sur ce qui vient après ou ce qui se passe autour de moi".

Publié le par Alexandre HERCHEUX

Vous avez aimé cet article, partagez le ! 

A la Une