Tennis. Rolex Paris Masters - Arthur Fils : "Finir 1er Français, c'est pas l'objectif"
Par Alexandre HERCHEUX le 29/10/2024 à 08:55
Arthur Fils arrive au Rolex Paris Masters dans de meilleures dispositions qu'en 2023. Usé, il n'avait pas pu profiter et s'illustrer. Cette année, le Parisien est en confiance avant une demi-finale décrochée l'ATP 500 de Bâle avant d'aborder la dernière édition du tournoi parisien à Bercy. De plus, 20e mondial, il a l'occasion de grappiller des points et de dépasser Ugo Humbert pour devenir numéro 1 Français. Un objectif ? "Zéro. Pas du tout. Je peux finir 1er comme 5e Français, ce n'est pas important", a-t-il affirmé en conférence de presse ce dimanche. En attendant son premier match à Bercy ce mardi dès 11h, à regarder sans consommation l'excellent reportage de l'ATP Tour : "ATP Origins, Arthur Fils".
Vidéo - Arthur Fils... l'excellent reportage de l'ATP Tour !
Lire la suite de l'article
Retrouvez ici le tableau du Rolex Paris Masters
Always bringing the best energy to the Tour 👊 ⚡�'�
— ATP Tour (@atptour) October 28, 2024
Get to know Arthur Fils and his origin story here: https://t.co/Sd0QmSSbOs pic.twitter.com/qQch89macX
"J'essaie de le prendre comme un tournoi normal. C'est comme si j'étais à Tokyo. Aucune pression, rien de différent"
"Cela va être un beau Bercy, j'espère", a également affirmé Fils, qui débutera mardi contre Marin Cilic. "L'année dernière, j'étais arrivé un peu fatigué, c'était dur, c'était compliqué. Là, cette année, j’arrive, je suis un peu plus frais, j’ai un peu plus d'expérience, donc j'espère faire un beau Bercy. Je me sens toujours bien. Comme je le dis souvent, je suis jeune, donc je peux enchaîner. J'ai fait quatre matchs la semaine dernière. Je n'ai fait de très très longs matchs quand même. Tout va bien. Je suis prêt à jouer lundi ou mardi. Être 20 ou 25 ou 15, à mes yeux, il n'y a rien qui change. J'arrive avec la même attitude. Bercy, c'est un immense tournoi. Je suis heureux de jouer à Paris, c'est clair. J'essaie de le prendre comme un tournoi normal. C'est comme si j'étais à Tokyo. Aucune pression, rien de différent."
Alexander Blockx, ambitieux : "L’objectif, c’est de gagner"
