Tennis. WTA - Charleston - "Une déclaration..." de Goerges à Kasatkina

"C'est quelqu'un qui compte pour moi. On s'est rencontrées lorsqu'elle avait 17 ou 18 ans. Je crois qu'on s'est affrontées à Bucarest ainsi qu'à Bad Gastein, et après ces matchs, j'étais presque sûre qu'elle allait être top 20. C'est d'ailleurs ce que je lui ai dit lorsqu'on s'est serrées la main au filet. J'ai su à la façon dont elle me regardait qu'elle était surprise, et qu'elle devait sûrement se dire que je lui disais ça parce que je l'avais battue. Mais je le pensais, et je crois que je n'avais pas tord... Et j'aime sa personne, ce qu'elle dégage."

"On sait que le tennis a aussi ses mauvais côtés. Le but n'est pas d'aimer tout le monde, mais je pense que c'est plus agréable si on peut être cordial. Et je pense que je peux parler d'elle comme étant l'une de mes meilleures amies sur le circuit, car c'est une fille très ouverte d'esprit. Elle est très satisfaite de la manière dont vont les choses pour elle, et pas uniquement sur le plan tennistique, mais également sur sa vie. J'ai été impressionnée de la façon dont elle est venue vers moi, on a énomément de respect l'une pour l'autre. Et je pense que c'est quelque chose de précieux dans la vie, rencontrer des gens respectueux. Et c'est quelque chose que je ressens de sa part." Voilà qui ne devrait pas laisser la dure à cuire russe insensible... La poignée de main lors de leur quart de finale ne devrait pas être glaciale, loin de là...