Tennis. ATP - Marseille - Gasquet : "Il n'y pas eu de cérémonie et c'est très bien"
Richard Gasquet poursuivait cette semaine, à l'Open 13 de Marseille, sa belle tournée d'adieux qui le mènera jusqu'à Roland-Garros en mai prochain. Motivé, le Biterrois s'est accroché mais a logiquement été dominé mardi par Alexander Bublik, 6-4, 6-4. Encouragé tout au long du match, "Ritchie" a pu recevoir une belle ovation à la fin du match. Le 128e mondial a montré un niveau intéressant mais son classement ne lui permet plus d'avoir des premiers tours "abordables"... Rappelons que Gasquet n'a jamais atteint la finale à Marseille. Il a tout de même été demi-finaliste en 2014 et 2017. La semaine prochaine, le Biterrois ira à Pau.
Vidéo - Richard Gasquet a disputé son dernier Open 13
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"Il n'y a pas eu de cérémonie et c'est très bien"
En conférence de presse, "Ritchie" a pu revenir sur sa joie d'avoir disputé une dernière fois l'Open 13 et aussi l'absence de cérémonie après sa défaite. "C'est un tournoi qui était important pour moi. Je suis venu plus jeune regarder ici et j'ai joué beaucoup de fois. C'est un tournoi historique pour les joueurs français. Je garderai beaucoup de souvenirs. C'est un super tournoi, bien organisé, qui compte. Je n'ai pas réussi à gagner ici mais je suis souvent tombé sur des bons joueurs indoor. Il n'y a pas eu de cérémonie et c'est très bien. J'aurais aimé gagner mais je n'ai pas réussi. On va passer à autre chose."
? GASQUET dit au revoir à Marseille
— We Are Tennis France (@WeAreTennisFR) February 11, 2025
Richard Gasquet à joué son dernier match à l'@open13, battu par Alexander Bublik 6-4 6-4 au 1er tour
La belle attitude du Kazakh envers le futur retraité ?pic.twitter.com/5LXeKItqGn
"Depuis le Covid, les balles sont catastrophiques"
Le Biterrois s'est aussi montré critique envers les balles, comme beaucoup de joueurs depuis de longs mois. "Le plus dur, ce sont les balles. Depuis le Covid, elles sont catastrophiques. Ça change vraiment le tennis. Elles sont lourdes. C'est vraiment incroyable. Le jeu n'est plus pareil qu'à l'époque. Tu peux frapper, les balles ne sortent pas des limites du court. Elles sont tellement lourdes qu'il y a moins de créativité. Forcément, je suis moins rapide aussi. Avec ces balles, c'est encore plus dur. C'est un vrai changement. J'ai 39 ans, t'es seul sur le court... Mais, je suis content de m'arrêter à Roland-Garros, c'est le mieux pour moi." Daniil Medvedev ou encore Carlos Alcaraz, pour ne citer qu'eux, ont également critiqué les balles ces dernières semaines...
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