Tennis. Roland-Garros - Dominic Thiem a clos la "polémique" Djokovic
Par Alexandre HERCHEUX le 09/06/2019 à 10:48
Le débat est clos et a été conclu par Dominic Thiem en personne ! En conférence de presse, Dominic Thiem, vainqueur de Novak Djokovic 6-2, 3-6, 7-5, 5-7, 7-5 en demi-finale de Roland-Garros, est revenu sur la "polémique Novak Djokovic" de vendredi soir. Rappelez-vous, le Serbe avait quitté la Porte d'Auteuil alors que le match n'était pas encore officiellement reporté. Si cela pouvait sembler être en défaveur de l'Autrichien, lui aussi voulait apparemment arrêté et ne s'est pas senti lésé.
Vidéo - Thiem: La décision d'interrompre le match était raisonnable
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"Les conditions étaient très difficiles hier. Je n'avais jamais joué avec autant de vent ! Il était supposé pleuvoir. Donc pour moi, la décision d'interrompre le match était raisonnable. Je venais de faire le break pour mener 3-1. Pour moi, cela allait très bien." Il n'y avait donc pas de soucis pour le 4e joueur mondial, toujours parfait dans l'état d'esprit.
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Félicitations pour cette grande bataille. Je suppose que vous êtes plus heureux maintenant qu'hier soir, quand le match a été interrompu, à 3-1 au troisième set. Est-ce correct ? Quels étaient vos sentiments hier soir et vos sentiments aujourd'hui ?
Non, je n'étais pas malheureux hier ou insatisfait parce que je suis allé aux vestiaires en menant 3-1 dans le troisième set. Je venais de faire le break. Les conditions étaient très difficiles hier. Je n'avais jamais joué avec autant de vent ! Il était supposé pleuvoir. Donc pour moi, la décision d'interrompre le match était raisonnable. Je venais de faire le break pour mener 3-1. Pour moi, cela allait très bien.
Énervé sur et en dehors du court Novak. Battu par Dominic Thiem 6-2, 3-6, 7-5, 5-7, 7-5 en demi-finale de Roland-Garrosce samedi, le Serbe a montré de l'agacement envers l'arbitre durant la rencontre et envers les superviseurs en conférence de presse. En cause, la gestion des conditions climatiques vendredi. Le Serbe ne s'est pas gêné pour sous-entendre que le match était injouable vendredi et que le superviseur aurait dû prendre une décision. "Quand j'ai demandé au superviseur dans le premier set, il a répondu : s'il n'y a pas d'objet qui vole, c'est bon. Je ne savais pas que le parapluie n'en était pas un... C'est leur décision. Ils connaissent mieux que nous le tennis" a-t-il lâché.

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