Tennis. Wimbledon - Les sous-vêtements de couleur autorisés pour les dames
Par Timothée THOMAS-COLLIGNON le 21/11/2022 à 18:34
Le média britannique "The Telegraph", avait annoncé l'évolution d'une tradition qui perdure depuis plus de 150 ans à Wimbledon. La tenue exigée pour concourir à Londres, c'est-à-dire une tenue intégralement blanche, est sujet à la controverse ces dernières années. Non pas pour des raisons économiques, mais plutôt pour le confort et la santé mentale des joueuses. Certaines seraient gênées par l'obligation de ne porter que du blanc, sous-vêtements compris, pendant leur cycle menstruel. C'est ce qui a poussé le si prestigieux tournoi à s'adapter.
Vidéo - Wimbledon... et cette obligation de jouer tout en blanc !
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Sous-vêtements de couleurs autorisés
Désormais, les Dames vont être autorisées à porter des sous-vêtements de couleur si elles le souhaitent. Seule contrainte : que ces sous-vêtements ne dépassent pas. La tenue portée restera donc blanche. C'est tout de même une petite révolution dans le monde du tennis. Traditionnel depuis la création du tournoi en 1877, le blanc représentait la couleur la plus adaptée pour masquer les traces de transpiration. Il est devenu obligatoire à partir de 1963. Un dress code rarement critiqué et qui définit l'essence même du tournoi : sobriété et classe.
If 2023 is anything like 2022, you won’t want to miss out 🎟
— Wimbledon (@Wimbledon) October 20, 2022
The Public Ballot is now open for The Championships 2023#Wimbledon
Le All England Club s'adapte
Le "All England Club", le club à la tête de l'organisation du troisième tournoi du Grand Chelem de la saison, avait récemment partagé son avis sur la question. Il met un point d'honneur sur la question du bien être des joueuses sur le court. Un changement qui peut paraître anodin, mais qui pourrait permettre à certaines joueuses de prendre confiance en elles et jouer plus librement malgré leurs règles.
Wimbledon is poised to relax its strict rule on all-white underwear after concerns about the anxiety experienced by female players during their menstrual cycles.
— Telegraph Women’s Sport (@WomensSport) November 7, 2022
âœï¿½'� @simonrbriggs#TelegraphWomensSport
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