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Tennis. INTERVIEW - Kyrian Jacquet : "Je ne finissais presque pas une séance sans pleurer"

Par Alexandre HERCHEUX le 18/12/2025 à 09:43. Mis à jour le 18/12/2025 à 11:58.
INTERVIEW
Photo : @TennisActu/@ATP

Kyrian Jacquet a logiquement été récompensé par la Fédération Française de Tennis. Le Lyonnais a reçu une wild-card pour le grand tableau de l'Open d'Australie 2026. 138e mondial, il est le meilleur Français hors cut grand tableau australien. Jacquet jouera son premier Grand Chelem sans avoir à passer par les qualifs. Cette année, le protégé de Stéphane Robert a disputé trois finales et remporté trois titres en Challenger. Il a également brillé avec un premier quart ATP à Metz en étant lucky loser. Pourtant, tout n'a pas été simple pour Kyrian, comme il l'a expliqué à Tennis Actu, avant de recevoir une wild-card pour Melbourne.

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A Roland-Garros, Jacquet menait deux sets à zéro avant de se faire renverser par Nuno Borges. Ensuite, le joueur de 24 ans a coincé mentalement. Il a même pensé arrêter sa saison dès septembre avant de finalement commencer un travail avec une psychologue. Le déclic. "Je n’avais plus trop envie de jouer au tennis. Je ne finissais pas un entraînement sans presque pleurer, ou des trucs comme ça, tellement j’étais à bout de nerfs". INTERVIEW.

 

"J’ai beaucoup plus confiance en mon corps"

Alors, Kyrian, comment ça va après une saison 2025 bien remplie… et comment se passe l’intersaison ?

Très bien, très bien. Je suis très content de ma saison, même si évidemment j’aurais voulu mieux. Mais voilà : je suis très content. Si on m’avait dit que j’allais faire cette saison il y a un an, je signais tous les jours. Déjà, premièrement, je suis très content d’avoir fait une saison presque pleine. Je n’ai eu qu’un mois de blessure, presque normal dans une saison. Donc voilà : j’ai beaucoup plus confiance en mon corps, j’ai beaucoup plus confiance en tout ce que je fais. Donc déjà, c’est un grand pas. Je suis très fier de ça, du travail qu’on a fait avec Clément (Gennin), mon préparateur physique, avec Stephane (Robert), mon coach… Je suis très fier de ça, en tout cas.

 

Tu commences la saison 264e. Tu finis sur ton meilleur classement : 137e (meilleur classement). Tu as quand même trois finales, 3 challengers. Tu parles un petit peu de déception sur certains points, mais c’est quand même une belle saison.

Oui, c’est une très belle saison. Mais c’est juste que j’ai fait un très bon début de saison, une bonne fin de saison aussi, mais entre-temps, je trouve que le milieu de saison a été… enfin, je n’ai pas été assez constant sur l’année. Mais au moins, ça me sert de leçon : c’est un premier “full” que je faisais, une saison pleine. Donc voilà : maintenant je sais sur quoi il faut que je travaille. Je sais qu’il faut que j’arrive à me laisser un peu plus de temps aussi dans la saison, pas vouloir jouer toutes les semaines, parce que la saison est longue, et mentalement forcément ce n’est pas facile. Donc voilà, j’ai plein de nouvelles choses que j’ai apprises, et plein de choses que je vais encore apprendre là, dans les prochaines [semaines / années]. Donc voilà, je suis content d’apprendre des choses comme ça.

 

"Roland-Garros, c’est un de mes meilleurs et un de mes “pires” souvenirs"

Tu parlais du milieu de saison… il y a Roland-Garros, qui a été un moment important. Tu sors des qualifs, tu mènes deux sets zéro contre Borges et puis tu perds finalement le match. Tu as dit que c’était un match qui avait fait mal au moral. Quel souvenir tu gardes de ce Roland ? Il y a toujours un peu d’amertume ?

Oui, il y en a toujours. Mais ça reste… enfin, c’est un de mes meilleurs souvenirs, un de mes “pires” souvenirs… donc voilà. Je vais essayer de retenir surtout la meilleure partie : j’ai fait des qualifs qui étaient vraiment d’un très haut niveau. J’ai gagné tous mes matchs assez facilement, sauf… le deuxième où je perds le deuxième set. Mais j’ai gagné quand même, j’ai eu un très bon niveau de jeu, j’ai “marché” un peu sur mes trois adversaires en qualifs. Et ce qu’il faut retenir, surtout, c’est que j’étais en train de mener deux sets à zéro et pas loin de gagner le match contre un mec qui est 50. Et il n’y avait pas… ce n’était pas un scandale : c’était vraiment moi qui jouais bien. Je dominai le match. Après, il s’est passé ce qui s’est passé, mais en termes de niveau de jeu, c’était hyper encourageant.

Et puis c’était la première fois que je jouais un vrai match de tableau final de Grand Chelem, parce que l’année d’avant, j’étais blessé, je ne pouvais pas vraiment jouer. Même si évidemment c’était incroyable… contre “Dimitrov”, ce n’était pas un vrai match de tennis parce que je n’ai pas pu jouer à 100%. Là, au moins, j’ai vu les difficultés des matchs en 5 sets : d’un point de vue mental, d’un point de vue physique, dans l’entièreté. Donc voilà, c’était hyper intéressant. Alors évidemment, j’aurais aimé que ça se passe mieux, mais ça sert de leçon. Et j’ai beaucoup appris de ce tournoi aussi.

 

"C’est de plus en plus clair : comment il faut que je travaille, comment il faut que je sois"

Tu as croisé trois “top 100” cette saison ? Trois défaites, mais trois défaites serrées, où vraiment il y a match et tu bouscules le mec en face. Est-ce que tu as réussi, en analysant, à voir ce qu’il te manque ? Ça se joue à quoi, à ton avis ?

Ça joue à l’expérience, ça joue au mental. Ça ne se joue pas dans le niveau de jeu, parce que je sais que j’ai largement le niveau de jeu pour battre ce genre de joueurs, je me le suis prouvé plusieurs fois. Après, c’est des matchs où il y a un peu plus d’enjeu, un peu plus de pression. Donc des matchs où l’attitude n’est pas tout le temps au rendez-vous. Sauf à Metz, je dirais que contre Norrie, j’ai une belle attitude. Là, je me suis prouvé pas mal de choses sur le comportement. Je sais exactement ce qu’il faut que je fasse. C’est de plus en plus clair : comment il faut que je travaille, comment il faut que je sois sur un court.

C’est pour ça que j’ai bien joué en fin de saison : parce qu’à Metz, j’ai vraiment eu, comme j’avais dit, un électrochoc sur le match où j’ai vraiment une attitude pourrie au dernier tour des qualifs. Et voilà : depuis, tous les matchs que j’ai faits, j’ai vraiment eu une attitude irréprochable. Donc voilà : je vais essayer de maintenir ça. Ça ne tient qu’à moi : il faut que je maintienne cette attitude tout le temps, cette implication tout le temps. Et je sais que si j’arrive à le faire, les matchs que j’ai perdus “au tie-break au troisième”, la prochaine fois, c’est moi qui les gagnerai. Parce que ça ne se joue pas au niveau de jeu : ça se joue plus dans la stabilité émotionnelle. Et si j’arrive vraiment à être stable mentalement, ce sont des matchs qui vont tourner dans le bon sens.

 

"Après l'US Open, je ne finissais pas un entraînement sans presque pleurer, tellement j’étais à bout de nerfs"

Et ça, tu peux me parler un petit peu du travail mental ? Je ne sais pas à quelle fréquence, mais comment ça se passe pour corriger ça ? J’imagine que c’est du boulot sur la longueur ?

J’ai commencé à bosser avec une psychologue déjà, parce qu’après l’US Open, je ne me sentais pas bien. Je ne prenais plus aucun plaisir sur le court. Je n’avais plus trop envie de jouer au tennis. Et là, c’était très, très dur mentalement : je n’avais pas un entraînement où j’étais heureux, pas un match où j’étais heureux. Je ne finissais pas un entraînement sans presque pleurer, ou des trucs comme ça, tellement j’étais à bout de nerfs. Au final, j’ai commencé à bosser avec une psychologue, et on a parlé de tout… au début même pas que du tennis, parce qu’au final je pense que ce sont des trucs qui ne sont pas que liés au tennis. Donc voilà, on a beaucoup parlé. Je continue d’être en contact avec elle : on se parlait presque tous les deux/trois jours, et c’était trois fois par semaine parce que je sentais que j’en avais vraiment besoin.

Et en fait, juste de parler… on ne se rend pas compte à quel point c’est important, mais juste parler, ça m’a fait un bien incroyable. Donc voilà, j’étais vraiment content de ça. Après, il faut que j’arrive à garder cette stabilité. Mais je sais sur quoi il faut que je bosse. Je sais qu’à l’entraînement aussi, il faut que je continue à avoir cette implication comme en match. Trop souvent à l’entraînement, je ne faisais pas assez les efforts parce qu’il n’y a pas d’enjeu. Mais au final, ce que tu fais à l’entraînement, ça va revenir dans les moments importants en match. Donc voilà : maintenant, j’essaie de ne rien laisser au hasard, et au moins, je n’aurai rien à me reprocher.

 

"Je suis tellement, tellement heureux d’avoir rencontré cette psy avec qui je bosse"

C’est difficile. Tu parlais autour de l’US Open, les séances compliquées… Ce n’était pas du tout lié à Roland-Garros ? C’est venu plus tard ?

En fait, après Roland, je n’ai pas mal joué à Wimbledon, mais après Roland, je n’étais pas heureux. Roland, ça a été une horreur pour moi. Et jusqu’à… il n’y a pas si longtemps, au final, là où je ne prenais plus de plaisir. Sur les qualifs de l'US Open], j’y suis allé, mais pour moi, dans ma tête, c’était un miracle que je gagne un tour, parce que franchement, j’étais dans un état où je ne pouvais pas gagner un match. Du coup, j’ai gagné par miracle le premier match, et le deuxième match, pareil, j’ai une attitude pourrie.

Donc j’arrive à ne pas… j’avais pas envie, en fait. Et quand on se dit “j’ai pas envie” en Grand Chelem, c’est qu’il y a vraiment un souci. Donc voilà : il fallait faire quelque chose, ça ne pouvait pas durer. Et je suis tellement, tellement heureux d’avoir rencontré cette psy avec qui je bosse.

 

"J’étais à deux doigts d’arrêter ma saison. Pas d’arrêter le tennis"

À ce moment-là, est-ce que tu t’es posé la question d’arrêter ? Ou au contraire, tu étais plus dans l’optique de trouver une solution ?

Bon, en fait, j’étais à deux doigts d’arrêter ma saison. Pas d’arrêter le tennis, mais à deux doigts de me dire : “si je continue, c’est inutile”. Ça va s’éteindre, ça va… quitte à faire deux mois où je ne touche pas une raquette, je pense à autre chose. Mais au final, non : je ne l’ai pas fait parce que je sentais que j’en avais besoin, de continuer de jouer, et je sentais que ça pouvait passer. Mais voilà, j’étais à deux doigts d’arrêter… 2-3 mois.

 

Du coup, j’imagine que ça t’a aidé aussi de voir les discussions et l’ouverture d’esprit sur la santé mentale, le fait de voir que ça existait ailleurs…

Je t’avoue, je n’ai pas fait gaffe, je ne me suis pas retrouvé sur quelque chose. Après, la santé mentale a toujours été un sujet : chacun le vit à sa manière. Tout le monde va être mal dans sa carrière à un moment donné, c’est impossible d’avoir une carrière tout le temps magnifique. Donc voilà : comment tu le gères, chacun le gère différemment. Moi, je n’arrivais pas à le gérer à ce moment-là. Donc c’est pour ça que j’ai senti que j’avais besoin d’être entouré encore plus. Après oui, c’est dur pour tout le monde. Mais on ne peut pas se rendre compte tant qu’on ne l’a pas vécu.

 

"Physiquement, on a changé pas mal de trucs"

On parle du mental, mais il y a aussi le physique. Quand on te connaît depuis jeune, on sait que ta saison a été freinée par les blessures, ça a été compliqué. Là, tu as fait des progrès, tu as joué plus de 60 matchs. Est-ce que tu as trouvé un rythme et des solutions pour éviter les grosses blessures ?

Déjà, j’ai été vraiment beaucoup plus tranquille cette année. La blessure que j’ai eue, entre guillemets, est “normale” : je voulais reprendre un peu trop tôt, etc. Mais ce n’est pas une faiblesse : c’est juste que je n’étais pas prêt à ce moment-là. Je n’étais pas faible physiquement pour autant. Physiquement, on a changé pas mal de trucs avec Clément : bosser beaucoup plus en travail profond. On a changé… ouais, vraiment la manière de bosser.

Je fais aussi, une à deux fois par semaine quand je suis à Lyon, de l’isocinétique pour les abdos. Je le fais à Gerland, au CKS. Je sais que ça me fait un bien de dingue d’aller là-bas, parce que ça me stabilise les abdos. Et en fait, le travail est contrôlé de A à Z, au millimètre près, sur une machine comme ça. Donc je sais que je peux forcer : dans tous les cas, je ne pourrai pas être plus fort que la machine, et je ne me fais pas mal. C’est vraiment le truc.

 

Tu peux expliquer comment ça fonctionne, l’isocinétique ?

Après, je ne sais pas qui c’est qui a inventé ça… C’est sur une machine, on dirait un peu une machine de torture. Mais voilà : on est attaché, on va bosser en position comme ça, et je vais aller vers le bas et vers le haut. Donc on bosse toute la ceinture abdominale et le dos (moi je ne l’utilise pas pour le dos). Du coup, on peut bosser ces travaux profonds, augmenter les abdos, que ce soit en excentrique. Moi je le fais excentrique + concentrique, donc ça fait double travail. Après ça dépend du programme, mais moi je fais des séries de 8 répétitions, et c’est 10 séries de 8 répétitions. Et voilà : moi je sais que ça me fait vraiment du bien. Et vu que le travail est vraiment contrôlé, ça fait de bonnes courbatures, par contre. Mais au moins, le travail est parfait. En termes de rééducation, en termes de travail, il n’y a pas mieux que ça.

 

"Financièrement, je suis en positif à la fin de l'année, mais je ne suis pas en positif énorme"

Qui dit saison pleine, dit victoires, dit aussi prize money plus important. J’ai regardé : tu as gagné environ 329 000 dollars, ça fait presque la moitié de ton prize money en carrière. Ça donne une autre dimension à ton projet ?

Bah après, sur les “329 000”, tu sais combien je prends ? Parce qu’en plus, c’est 329 000 avant les taxes de l’ATP… enfin, avant les taxes de l’ATP et avant les taxes en France. Donc tu ne prends même pas la moitié. Donc oui, tu respires, mais tu ne prends pas un grand bol d’air.

 

Ton projet ne prend pas encore une autre dimension ?

Non, tu respires. Vous le savez, évidemment : je ne suis pas à plaindre. Je suis hyper privilégié de gagner ce que je gagne en faisant ça. Après, ce n’est pas facile non plus. Mais je gagne quand même assez pour vivre, en tout cas, pour l’instant, avec les dépenses que j’ai. Donc voilà, je suis hyper content de pouvoir gagner autant d’argent. Après je ne suis pas là à gagner énormément non plus, avec toutes les dépenses. Bien sûr qu’à la fin de l’année je suis en positif, mais je ne suis pas en positif énorme.

C’est vraiment les Grands Chelems (les quatre tableaux) et les Masters 1000 qui changent tout : déjà, quand tu prends 100 000 au premier tour d’un tableau de Grand Chelem… enfin, 100 000 “de là”, donc tu vas prendre 80 000 euros, c’est énorme, ça change tout. Et quand tu prends 20 000 au premier tour des qualifs… voilà.

 

"Le Top 100, c’est l’objectif à court terme"

L’année dernière, tu disais à Tennis Actu que tu pouvais largement aller dans les 100 en réglant des problèmes mentaux. Est-ce que tu as trouvé les clés ? Et maintenant que tu t’en rapproches, objectif top 100 début 2026 ?

Ouais, complètement : c’est l’objectif à court terme. Là, je pense que j’ai vraiment trouvé un truc, comme je dis. Je n’ai jamais été aussi sûr d’un truc : je n’ai jamais été aussi sûr de la manière dont je devais bosser. Donc voilà : je sais dans quel sens je vais, je n’ai aucun doute. On est tous d’accord avec mon équipe là-dessus aussi. Donc voilà : il n’y a plus qu’à. Est-ce que je vais y arriver ? Je ne peux pas le dire. Est-ce que je vais tout faire pour y arriver ? Ça oui. Mais je sais en tout cas que si j’arrive à garder cette attitude, et si j’arrive à garder cette stabilité physique, il n’y a aucune raison pour laquelle je n’arriverais pas dans le top 100.

 

Et avec ces titres-là, ou ce travail-là, quels sont les autres objectifs ? Tu as d’autres choses en tête ?

L’objectif, c’est d’être dans les tableaux de Grand Chelem le plus rapidement possible. Forcément, d’être dans les 100. Si je ne suis pas tableau, bien me qualifier, évidemment. Un gros objectif, évidemment, c’est d’être tableau à Roland pour pouvoir jouer devant le public parisien, devant le public français. Roland, c’est toujours incroyable. Et mon objectif, c’est d’arriver à être franchement heureux sur le court, prendre le temps qu’il me faut. Même s’il y a des moments où je suis un peu moins bien : prendre le temps, et ne pas être pressé par rapport aux tournois, par rapport à l’argent, par rapport à tout. Vraiment arriver à faire la part des choses et privilégier ma santé mentale au reste.

 

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4 SRB DJOKOVIC Novak4830 pts
5 CAN AUGER-ALIASSIME Felix4245 pts
6 AUS DE MINAUR Alex4135 pts
7 USA FRITZ Taylor4135 pts
8 ITA MUSETTI Lorenzo4040 pts
9 USA SHELTON Ben3970 pts
10 GBR DRAPER Jack2990 pts

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2 POL SWIATEK Iga8395 pts
3 USA GAUFF Cori6763 pts
4 USA ANISIMOVA Amanda6228 pts
5 KAZ RYBAKINA Elena5850 pts
6 USA PEGULA Jessica5583 pts
7 USA KEYS Madison4335 pts
8 ITA PAOLINI Jasmine4325 pts
9 RUS ANDREEVA Mirra4319 pts
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