Tennis. Roland-Garros - Dominik Hasek : "La France est responsable de morts..."
Cette année, le sujet de la guerre en Ukraine n'a pas été abordé dans toutes les conférences de presse de joueurs russes et ukrainiens à Roland-Garros. Elina Svitolina a tout de même rappelé la situation à plusieurs reprises et le besoin d'aider son pays. Récemment, sur les réseaux sociaux, Dominik Hasek, ancien gardien de hockey sur glace tchèque, a sorti la sulfateuse contre les instances du tennis et Roland-Garros. L'homme de 60 ans n'a pas hésité à lâcher : "La WTA, l'ATP et la France sont donc responsables du nombre considérable de morts et de blessés lors de l'opération spéciale".
Vidéo - Elina Svitolina parlait de l'Ukraine à Roland-Garros
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"Ce tournoi sur le sol français a ainsi servi de support publicitaire massif à l'opération spéciale"
"Il y a quelques jours, le tournoi de tennis de Roland Garros s'est terminé à Paris", a-t-il commencé avant d'attaquer. "Malheureusement, comme dans tous les tournois organisés par la WTA et l'ATP, des athlètes russes y ont participé, sans toutefois condamner officiellement l'opération spéciale et sans agir en conséquence. Ce tournoi sur le sol français a ainsi servi de support publicitaire massif à l'opération spécial , et de ce fait, de très nombreuses personnes ont été blessées.
A few days ago, the Roland Garros tennis tournament in Paris ended. Unfortunately, like all tournaments organized by the @WTA and @atptour , the tournament was attended by Russian athletes who did not officially condemn the Russian imperialist war and did not act accordingly.…
— Dominik Hasek (@hasek_dominik) June 12, 2025
La WTA, l'ATP et la France sont donc responsables du nombre considérable de morts et de blessés lors de l'opération spéciale, ainsi que des autres pertes considérables subies par ce pays. Chaque événement sportif et chaque pays qui autorise une telle publicité devraient verser des milliards d'euros à l'Ukraine pour cela, même si, malheureusement, cela ne sauvera pas de vies humaines", a écrit Hasek sur ses réseaux sociaux.

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